On this World AIDS Day, OHESI remembers those who have lost their lives to HIV, and we recognize the efforts of our community to prevent HIV infection and improve the lives of people living with HIV.
Over the past 40 years, we have seen great progress in the effort to stop the spread of HIV. As a result of effective treatment, people living with HIV can now suppress the virus to undetectable levels, which means they can lead long healthy lives and cannot pass the virus to their sexual partners (undetectable = untransmittable or U=U). Due to the development of pre-exposure prophylaxis or PrEP, people can now take one pill a day to protect themselves from getting HIV.
To understand the impact of these prevention interventions, Ontario has refined its surveillance data to calculate the number of first-time diagnoses annually: this is our best indicator of the number of people who are learning their HIV status for the first time and were likely to have been infected in the province. In 2019, for the first time in more than a decade, we saw a decrease in both the number and rate of first-time HIV diagnoses among males in Ontario. In 2019, about 9,000 Ontario males were dispensed PrEP1, almost three times the number in 2018. This promising trend among males tells us that the combination of treatment (U=U) and PrEP are working to decrease local transmissions. More work is needed to further these gains, as females received only 2.5% of all dispensed PrEP in 20191.
In 2019:
- There were 687 first-time HIV diagnoses in Ontario, down from 738 in 2018.
- The rate of first-time HIV diagnoses per 100,000 people was 4.7, the lowest since 1986.
- There were 515 (7.2/100,000) first-time HIV diagnoses among males and 169 (2.3/100,000) first-time HIV diagnoses among females.
- This is the lowest number and rate of first-time HIV diagnoses among males since 1986.
- About three-quarters (75.3%) of first-time HIV diagnoses were in males and one-quarter (24.7%) were among females.
- Breaking down the percent of diagnoses by priority populations* and sex, 53.6% of first-time diagnoses were in gay, bisexual and other men who have sex with men, 15.1% were in African, Caribbean and Black males, 11.9% in African, Caribbean and Black females, 7.9% in males who inject drugs, 4.3% in females who inject drugs, 2.9% in Indigenous males and 2.0% in Indigenous females.
- Within the gay, bisexual and other men who have sex with men priority population, 15% of first-time HIV diagnoses were also identified as being part of the African, Caribbean and Black priority population.
By building on the successes of effective HIV treatment and PrEP, we can continue to drive down the number of new HIV diagnoses in Ontario and work to ensure that HIV prevention, testing and treatment are accessible to all Ontarians.
Sources: HIV diagnostic data from Public Health Ontario, HIV Datamart; 1: IQVIA Ontario pharmacy dispensation records.
Notes: First-time HIV diagnoses are those who are learning their status for the first-time in Ontario, excluding people already diagnosed out of province and repeat testing in Ontario. Due to missing data on test history, this number can be a slight overcount. The time of diagnosis does not tell you when a person acquired HIV (i.e. rate of diagnosis is not a direct proxy for incidence of infection).
*Priority populations are not mutually exclusive.
En cette journée mondiale du sida, nous nous souvenons de ceux qui ont perdu la vie à cause du VIH et nous reconnaissons les efforts de notre communauté pour prévenir l’infection par le VIH et améliorer les conditions de vie des personnes vivant avec le VIH.
Au cours des 40 dernières années, nous avons constaté de grands progrès dans les efforts visant à arrêter la propagation du VIH. Grâce à un traitement efficace, les personnes vivant avec le VIH peuvent désormais voir le virus supprimer jusqu’à des niveaux indétectables, ce qui signifie qu’elles peuvent mener une longue vie saine et ne peuvent pas transmettre le virus à leurs partenaires sexuels (indétectable = intransmissible ou I=I). Grâce au développement de la prophylaxie Pré-Exposition ou PrEP, les gens peuvent désormais prendre une pilule par jour pour se protéger contre le VIH.
Pour comprendre l’impact de ces interventions de prévention, l’Ontario a affiné ses données de surveillance afin de calculer le nombre de premiers diagnostics annuels : c’est notre meilleur indicateur du nombre de personnes qui apprennent leur statut VIH pour la première fois et qui étaient susceptibles d’avoir été infectées dans la province. En 2019, pour la première fois depuis plus d’une décennie, nous avons observé une diminution du nombre et du taux de premiers diagnostics de VIH chez les hommes en Ontario. En 2019, environ 9 000 hommes Ontariens ont reçu la PrEP1, soit près de trois fois plus qu’en 2018. Cette tendance prometteuse chez les hommes nous indique que la combinaison du traitement (I=I) et de la PrEP contribue à réduire les transmissions locales. Des efforts supplémentaires restent à faire pour poursuivre ces progrès, car les femmes n’ont reçu que 2,5 % de toute la PrEP dispensée en 2019.
En 2019 :
- Il y a eu 687 premiers diagnostics de VIH en Ontario, contre 738 en 2018.
- Le taux de premiers diagnostics de VIH pour 100 000 personnes était de 4,7, le plus bas depuis 1986.
- Il y a eu 515 (7,2/100 000) premiers diagnostics de VIH chez les hommes et 169 (2,3/100 000) premiers diagnostics de VIH chez les femmes.
- Il s’agit du nombre et du taux les plus bas de premiers diagnostics de VIH chez les hommes depuis 1986.
- Environ trois quarts (75,3 %) des nouveaux cas de VIH ont été diagnostiqués chez les hommes et un quart (24,7 %) chez les femmes.
- En ventilant le pourcentage de diagnostics selon les populations prioritaires* et le sexe, 53,6 % des premiers diagnostics ont été diagnostiqués chez des hommes homosexuels, bisexuels et autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, 15,1 % chez des hommes Africains, Caribéens et Noirs, 11,9 % chez des femmes Africaines, Caribéennes et Noires, 7,9 % chez des hommes qui s’injectent des substances, 4,3 % chez des femmes qui s’injectent des substances, 2,9 % chez des hommes Autochtones et 2,0 % chez des femmes Autochtones.
En nous appuyant sur les succès des traitements efficaces contre le VIH et de la PPrE, nous pouvons continuer à faire baisser le nombre de nouveaux diagnostics de VIH en Ontario et nous efforcer de faire en sorte que la prévention, le dépistage et le traitement du VIH soient accessibles à tous les Ontariens.
Sources : Données de diagnostic du VIH de Santé Public Ontario, HIV Datamart ; 1 : Dossiers de dispensation des pharmacies IQVIA Ontario.
Notes : Les personnes diagnostiquées pour la première fois pour le VIH sont celles qui apprennent leur statut pour la première fois en Ontario, à l’exclusion des personnes déjà diagnostiquées hors de la province et des tests répétés en Ontario. En raison de données manquantes sur l’historique des tests, ce nombre peut être légèrement surestimé. Le moment du diagnostic ne permet pas de savoir quand une personne a contracté le VIH (c’est-à-dire que le taux de diagnostic n’est pas un indicateur direct de l’incidence de l’infection).
*Les populations prioritaires ne sont pas mutuellement exclusives.